Les Négociations en Cours
Les Négociations en Cours : nous vous tenons informés.
Négociation Annuelle Obligatoire du 23 mai 2002.
Négociation Annuelle Obligatoire du 3 mai 2002.
Négociation Annuelle Obligatoire du 22 mars 2002.
Intéressement et Participation du 22 mars 2002.
Intéressement et Participation du 7 mars 2002.
Négociation Annuelle Obligatoire du 18 avril 2001.
Troisième réunion de Négociation Annuelle Obligatoire du 23 mai 2002.
Lors de la troisième réunion de négociations annuelle obligatoire, la direction nous a fait part de ses dernière propositions :
La C.F.T.C Franfinance a accueilli favorablement ces nouvelles propositions.
Seconde réunion de Négociation Annuelle Obligatoire du 3 mai 2002.
La seconde réunion de Négociation Annuelle Obligatoire a été l'occasion pour la C.F.T.C Franfinance de présenter ses propositions à la Direction. Nos propositions étaient les suivantes :
La Direction nous a, pour sa part, présenté ses propres propositions :
La C.F.T.C Franfinance a accueilli favorablement ces propositions. Elle estime cependant qu'elles ne sont pas suffisantes. Elle a formulé des contre-propositions, notamment une augmentation du minima de 20 euros proposé par la Direction. Nous avons également proposé qu'il soit tenu compte de l'ancienneté pour l'attribution de cette augmentation, les "anciens" étant en général plus souvent oubliés que les nouveaux pour les primes et augementations individuelles de fin d'année.
Mais nous avons également pu noter la réaffirmation par la Direction de sa volonté de privilégier l'individualisation des salaires. Le budget prévu pour les Négociations Annuelles Obligatoires et deux fois et demi inférieur à celui des augmentations et primes individuelles de fin d'année. Nous ne pouvons bien entendu que nous opposer à cette volonté.
Première réunion de Négociation Annuelle Obligatoire du 22 mars 2002.
Cette première réunion a pour objet de définir les dates des prochaines réunions et les documents que la Direction doit fournir aux organisations syndicales. Une fois encore, notre D.R.'H' a été martial. Il nous a fait comprendre qu'il attendrai la prochaine réunion du 3 mai (la dernière est prévue pour le 6 juin) pour nous remettre sa proposition sur table et il n'a pas voulu indiquer aux partenaires sociaux le montant de l'enveloppe que la Direction souhaite consacrer (entre autres) aux augmentations collectives.
Est-ce parce que la Direction n'a pas travaillé le sujet ou parce qu'elle préfère imiter la Grande Muette dans son mode de négociation collective ? A vous de juger…
Négociation Intéressement et Intéressement du 22 mars 2002
Que les pauvres retirent les mains de nos poches, telle fut en gros le message délivré par la Direction. Celle-ci au passage déplorant l'absence du SNB-CGC à la poursuite des négos. Si la Direction a effectivement consenti à augmenter quelque peu le salaire plancher sur les demandes pressantes et réitérées de la C.F.T.C, ce montant reste encore on peut plus dérisoire. Environ 200F en plus par salarié impacté. Trop peu encore pour la C.F.T.C, mais déjà un véritable déchirement pour la Direction. C'est tout juste si en sortant de ces négos, la Direction n'avait pas envie de nous jeter cette réplique de l'Avare : "Montrez-moi vos mains. Et les autres ?". Estimons-nous heureux d'avoir pu récupérer une petite bouteille d'eau (33cl) !… Les frais généraux vont-ils boire la tasse ?
Intéressement et Participation du 7 mars 2002.
Le 7 mars 2002 a eu lieu une nouvelle réunion concernant la participation et l'intéressement. Nouvelle réunion donc nouvelles propositions ? Non point. La Direction nous propose toujours de négocier le Code du Travail... C'est bien évidemment inacceptable. Très peu de changements nous sont proposés, et en tous cas pas ceux qu'attendent les salariés. Le plancher est arrondi en fonction de l'euro. Le plafond ne change pas. Ni le mode de calcul, ni les conditions de répartitiion changent. Au 5ème, rien de nouveau.
Et l'intéressement ? La Direction nous a remis un document de travail. A suivre, donc.
Négociation Annuelle Obligatoire du 18 avril 2001.
Le 18 avril 2001 s'est tenue la seconde des trois réunions concernant la Négociation Annuelle Obligatoire. Une fois de plus, nous nous sommes retrouvés à trois : la Direction, la C.F.D.T et vos serviteurs.
La C.F.T.C a fait part de ses propositions, que nous vous détaillerons ci dessous. La Direction est venue sans aucune proposition (ou presque…).
Voici nos propositions :
Nous sommes bien évidemment prêts à en discuter avec nos collègues, pour autant qu'ils daignent se déplacer la prochaine fois… Quant à la Direction, elle nous a (encore une fois) prouvé lors de cette séance de négociation qu'elle a des oursins dans les poches….
Réunion de négociation du protocole pré-électoral du 5 février 2001.
C'est la dernière des réunions de négociation du protocole pré-éléctoral prévues (cliquez ici pour le résumé de la réunion précédente). Cette fois-ci, nous sommes restés jusqu'à la fin. Les positions de chaque délégation syndicale ont étés réaffirmées. L'unanimité ne pouvant être obtenue sur le nombre de collèges, leur composition et la répartition des sièges, la Direction (qui entre temps a du lire le Code du Travail à ce sujet) a indiqué qu'elle allait saisir l'Inspection du Travail.
Nous vous tiendrons informés de la suite des évènements.
Réunion de négociation du protocole pré-électoral du 29 janvier 2001.
Il s'agit de la seconde réunion de négociation du protocole pré-éléctoral (voir notre résumé de la première réunion). Une fois encore, la délégation C.F.T.C a quitté la salle avant la fin de la réunion. En effet, chaque organisation syndicale a, lors de cette réunion, indiqué quels étaient ses souhaits quant au nombre de Délégués du Personnel, quant à la répartition du nombre de sièges par collège au C.E et pour les D.P quant à la définition des différents collèges. Or il n'a pu être trouvé de terrain d'entente commun aux organisations syndicales et à la Direction. En foi de quoi, l'accord pré-éléctoral devant être approuvé à l'unanimité (sauf pour la Direction de Franfinance, qui refait la loi électorale à sa sauce...), il était evident, dès le premier thème de la réunion épuisé, qu'il faudrait un arbitrage externe.
De plus, nous avons demandé à nouveau à la Direction si elle était d'accord soit pour octroyer un budget de déplacement aux Délégués du Personnel, soit pour des D.P supplémentaires, soit pour des D.P régionaux. Nous nous sommes à nouveau vus opposer une fin de non-recevoir. Fin de non-recevoir d'autant plus définitive que nous étions prêt à écouter et étudier les propres propositions de la Direction dans ce domaine, et qu'il n'y en a pas eu.
Nous vous tiendrons informés de la suite des évènements.
Réunion de négociation du protocole pré-électoral du 22 janvier 2001.
La première réunion de négociation du protocole pré-éléctoral s'est déroulée ce jour, lundi 22 janvier 2001. Pour la délégation C.F.T.C, elle a tourné court assez rapidement. En effet, la C.F.T.C estime qu'élire des Délégués du Personnel ne consiste pas principalement à mettre des noms sur une liste et à espèrer ensuite que les salariés feront confiance à ces noms.
Elle estime que, dans une entreprise comme la nôtre, les Délégués du Personnel doivent avoir les moyens de se déplacer pour rencontrer les salariés de province et pouvoir ainsi remplir leur mission au plus près des intérêts de tous les salariés. La Direction semble ne pas être de cet avis, qui s'en étonnerait ?
La Délégation C.F.T.C a proposé plusieurs solutions et était prête à en discuter avec la Direction ou même à en étudier d'autres. Mais elle c'est vu opposer une fin de non-recevoir. Pas de négociation sur ce sujet.
L'employeur est pourtant tenu de mettre à la disposition des Délégués du Personnel les moyens de remplir leur mission, moyens qui d'ailleurs n'auraient pas pesés bien lourd dans les charges de l'entreprise, mais moyens nécessaires à l'exercice de la mission des Délégués du Personnel.
Voyant que sur ce point (peut-être y en aura-t-il d'autres), la Direction se refuse à toute négociation, la Délégation C.F.T.C a estimé qu'il n'était pas utile qu'elle cautionne par sa présence en séance ce simulacre de négociation et a donc quitté la table.
Nous vous tiendrons informés de la suite des évènements.